802. Main

par Josée Marcotte

Marge est revenue à la littérature comme l’assoiffée dans la flaque d’eau, autrefois petit miroir réfléchissant une réalité trouble. Survivante de rien. Princesse Apocalypse poursuivant son bonhomme de chemin, égrenant des miettes de cailloux à travers la route, sans désir de marche arrière, son être concassant à chaque enjambée, Amazone de rien. Exceptée Marge qui lui tend la main. Toujours.

*

Une décennie plus tard, la question demeure : maturare?

*

L’essence précède le carburant, comme disait Sartre.

Vous aimeriez aussi

Laissez un commentaire